« Je ne rentrerai pas. Les Pañas, une partie de San Andrés, île des Caraïbes colombiennes »


La Géographie Humaine
Ces morceaux de terre perdus et oubliés qui émergent de la mer Caraïbe à des centaines de kilomètres des côtes continentales de la Colombie, à peu de distance des côtes de l’Amérique Centrale, forment ce qu’on appelle l’Archipel de San Andrés, Providencia et Santa Catalina, et appartiennent bien à la Colombie, mais bien moins qu’elle n’appartiennent à leurs habitants. De petits points sur une carte, ces îles de 52 Km2 de terres placides, de vents sereins et de palmiers verts sous le soleil resplendissant ont supporté le passage de tornades, d’ancres de bateau, d’épées, d’ouragans, d’évangélisations, des bêtes mythiques mi-hommes mi-cheval, de maladies et de maîtres. Elles survivent sous le ciel toujours bleu et face à la mer qui a accouché du monde moderne.

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« Je ne rentrerai pas. Les Pañas, une partie de San Andrés, île des Caraïbes colombiennes »
Rédigé le Mardi 16 Mars 2010