La métamorphose dans la littérature narrative française des XIIe et XIIIe sièclesDans les cultures anciennes, l’évocation de la possibilité humaine de circuler librement entre les différents règnes de la nature témoigne d’une conception unitaire de la vie de l’univers, selon laquelle l’ensemble du réel constitue un corps homogène, dont les composantes participent du même principe vital(1). De plus, la croyance dans une « identité de fond entre l’homme et tous les autres êtres et degrés de l’existence cosmique(2) », c’est-à-dire dans la possibilité d’un passage incessant d’une forme à une autre, est le présupposé sur lequel se fonde l’idée d’une correspondance entre le Macrocosme, c’est-à-dire l’univers, et le Microcosme, l’homme, qui en serait le reflet : « le corps entier participe à la nature.L’accès à cette ressource est réservé aux abonnés. Rédigé le Vendredi 9 Avril 2010
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ISSN 2114-821X
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